Le clan de Lunatic Pandora
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 La vie de KnibalMax avant Lunatic Pandora

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AuteurMessage
KnibalMa
Invité




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MessageSujet: La vie de KnibalMax avant Lunatic Pandora   La vie de KnibalMax avant Lunatic Pandora Icon_minitimeJeu 14 Juin - 23:20

Depuis mes 5 ans, je suis confronté à la violence. Déjà petit on nous met une épée en bois dans les mains, et on nous force à combattre son copain en face de nous. A chaque bêtise faite, nous sommes attachés à un poteau et nous sommes confrontés à 50 coups de fouets. Mère me dit que c’est pour oublier la douleur, que grâce à çà on ne la sentirait plus. Fini les temps de cache cache dans le temple des dieux, fini les câlins au près de mère. Quand je suis couché, j’entends mère qui pleure. Ca m’arrive de me lever et de lui demander pourquoi tant de larmes mais elle me répond pas et me dit que demain une grosse journée m’attends alors je dois retourner dans au lit.

Aujourd’hui j’ai 7 ans et c’est un grand jour pour moi, je dois me rendre aux portes des dieux là où je reçois bénédiction du prêtre et des dieux. Mère pleurant savait ce qu’il allait m’arriver. Je la regarde et là deux grands soldats me tirent par les bras et m’entraînent hors de la forteresse. C’est la dernière fois que je vis mère.

Je marchais pendant des heures et des heures avec ces deux soldats à mes côtés, aucun des deux parlaient, même à mes questions : « On va où ? » Le regard froid n’éprouvant pas la pitié. Le voyage m’affaiblissait, je perdis bientôt connaissance lorsque j’entendis des coups de marteaux sur de la ferraille, une odeur de brûler, je me réveillais et me suis mis à courir laissant les deux soldats derrière moi. Une civilisation devant mes yeux. Un des soldats me porta sur ses épaules et marcha en direction de la forteresse. Il me posa à terre et partit me laissant là sans rien me dire. J’avais les pieds tout abîmés, un prêtre vint me chercher.

Viens fils de Kratos, nous t’attendons.

Je le suivais sans savoir où il allait, des jeunes de mon âge qui se tapaient, d’autres subissaient les coups de fouets, je ne vis aucune filles, ni aucune femmes. Nous arrivâmes dans un long couloir, du marbre au sol, de magnifique peinture au plafond tout était magnifique. Les portes s’ouvraient à mon arrivée et là devant moi l’empereur Zanzibar. Sans réfléchir je me mis à genou il prit une épée et me baptisa.

Je t’ai baptisé de cette épée, elle sera tienne jusqu'a ta mort. Part à présent ta guerre va bientôt commencer, soit près à défendre tes terres.

Je partis loin en courant dans les couloirs. L’épée dans ma main, je sortis et là Dhasim un nouvel ami, il me prit la main et m’emmena au cours d’épée. Beaucoup de jeune de mon âge avec la même envie devenir le plus fort. Je fus à peine arriver qu’on me roua de coup, comme si j’étais le souffre douleur. Ma rage montait en moi et je me défendais. Les soldats nous admiraient et non nous séparaient, pour eux il devait y avoir un vainqueur. J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai tabassé mon adversaire, j’étais sur lui, mes genoux sur ses bras, il n’avait aucune protection. Mes poings se déchaient sur son visage, un moment donné je ne senti plus sa force, on aurait dit que je tapais dans un sac d’os. Je me lève la tête couverte de sang lui allongé sur le sol baignant dans le sang. Levant mon bras comme un signe de vainqueur, je fus confronté à 100 coups de fouets pour avoir tuer un Spartiate.

Jour J. Me revoilà, je suis âgé de 16 ans, nous avons survécu aux maltraitances, tout le monde se sens plus fort et plus imposant, je suis fantassin première ligne, avec à mes côtes mon ami Dhasim, nous sommes en route pour les pays arabes et leur nombreux Sarrasins. Quand on regarde autour de nous, on peut apercevoir la force de Spart, des milliers de navires voguant sur la mer Egée avec à leur bord plus de 1000 soldats près à sacrifier leur vie pour Sparte. Une fois pied à terre l’eau chaude passe à travers nos sandales, tout le monde en position Dhasim à mes côtés, en haut de la colline de sable des drôles de bêtes à quatre pattes avec sur leur dos des hommes aux longs sabres tous habillés en blanc. Le temps de guerre est arrivé, bizarrement je n’ai pas peur, je suis plutôt pressé, c’est ma première vraie bataille.

Les Sarrasins se mirent en retrait et disparurent derrière la colline, le Caporal ordonna l’assaut mais je savais que se mettre à l’attaque sans savoir ce qui nous attendait derrière les collines de sable était une pure folie. Arriver en haut nous vîmes une armée complète. Le double de nous, la peur au ventre je me suis mis à charger avec mes amis, on courrait le bouclier dans la main et l’épée dans l’autre, les Sarrasins faisaient de même en criant. On pouvait sentir le sol vibrer, arriver face à face les corps volaient, Dhasim meurt à la première charge, décapiter par un cavalier. Le sang gicla sur mon visage, j’aperçu sa tête tombée sur le sol. Je combattais comme on me l’avait appris, bouclier pour parer, épée pour transpercer. J’ai planté mon épée dans le sol et pris mon bouclier à deux mains et l’ai lancé pour tuer un Sarrasin courant vers moi. Celui-ci ce planta dans son torse, l’homme tomba à mes pieds, je repris mon épée et couru prendre celle de mon ami pour lui rendre honneur. Cette guerre devenait une vraie boucherie. Allongé sur le sol baignant dans le sang, je pris ma respiration, quelque bruit de soldat souffrant, je me lève et vis un Sarrasin désarmé courir.

Ca c’est pour mon frère….

Il lança son épée en direction du fuyard, l’homme tomba à terre l’épée plantée dans son dos. Le brave guerrier marcha entre les cadavres et déplanta son arme, repris son bouclier le mit dans son dos et alla chercher l’épée de son frère d’arme. Il aida ses frères pour rejoindre les navires. A bout de souffle, il se posa dans le navire et dormit rêvant de cette bataille.

Arrivé à Sparte, l’empereur du haut de la muraille remercia les quelques guerriers revenus de la boucherie. Un discours que je n’écoutais pas mais j’étais obligé d’être là. Après le discours soit terminé j’entre dans ma tente pris une feuille et une plume.


Bonjour mère
Je te donne de mes nouvelles, je reviens de guerre, j’ai perdu mes amis même plus ici se sont tous mes frères, on me compare à Kratos mais qui c’est ? Mère je suis fatigué je rêve de te revoir, mère tu me manques mais je souhaite une chose, soit fière de ton fils.
Cordialement :

Maximilius



Sorti de là, je poste cette lettre, en direction de l’armurier, un soldat m’interpelle.

Hé ? Tu t’appelles comment ?

Appel moi KnibalMax

Tournant le dos à cette inconnu il me choppa et me mit à terre.

Tu m’as manqué de respect…..tu vas me le payer.

Me rouant de coup, j’arrivais enfin à me lever, je saignais de la lèvre, il avança son poing ce qui m’a permis de le choper, je le mis à terre lui cassant le bras puis la jambe tout en faisant craquer ses vertèbres. Une poignée de cailloux dans sa bouche.

T’avise plus de me faire çà….

Les autres me regardaient stupéfait.

Que ce soit compris pour vous tous.


Du haut de sa tour, l’empereur regarda son guerrier faire. D’un regard froid il partit. Quelques heures plus tard, des gardes vinreent me chercher et me jettèrent au pied de son altesse.

Calme toi Maximilius, j’en ai assez de ta rébellion contre mon armé, tu devras passer 5 ans dans les cachots. Et tu seras condamné à mort car ta puissance auprès des troupes me fait peur…. Gardes emmener le….Et surtout savoure bien ta cellule.

Les pieds qui traînaient sur le sol, parcourant les cachots, je fus enchaîné au mur de cette cellule. D’autre prisonnier fut condamné ici même. Voyant au sol du sang séché, ma colère monté en moi et d’une force surhumaine, je parvins à casser les briques retenant mes liens.
D’un coup de pied je brisa la porte et sorti. Les autres prisonniers me supplièrent de les délivrer.

Ecouter moi, je suis près à vous libérer à une condition : Devenez mon armé et combattaient à mes cotés, je vous donnerai votre liberté une fois mon devoir fini.

Une fois libéré nous remontâmes les escaliers en tuant au passage quelque garde qui nous barré le passage.

Je vais chercher des Spartiates qui se feront un plaisir de se joindre à nous, vous allez rendre accessible la chambre des armes. On se retrouve là bas.

Seul dans les couloirs, esquivant les patrouilles de garde j’arrivais enfin dans la tente de mes amis, qui furent heureux de me voir ainsi. Je leur ai expliqué la rébellion et d’un simple soldat je passe à un général. De retour dans la forteresse, nous allâmes là ou j’ai laissé mes premières recrues. On enfila les armures munis d’armes nous massacrons les collaborateurs de l’empereur. Arrivés dans la salle du trône il se trouva face à nous, la haine et la rage montaient en moi.

Pendant toute mon enfance je t’ai servi sans voir nos profits, même pas un don d’or rien, alors aujourd’hui tu ma trahis, comme tu le vois j’ai des amis, des frères qui viennent me soutenir pour mettre fin à ta vie. Et sache qu’une fois ta tête sur le sol je prendrais ta place.

Ne vends pas la peau de l’ours avant de l’avoir tuer, affronte moi dans un duel 1 contre 1 et que le meilleur l’emporte.

Ta peine est déjà perdue, pendant que tu te goinfrais, je me suis beaucoup battu et je me suis endurci alors sache que tu vas mourir.

A peine avoir fini sa phrase, le Spartiate s’engagea dans un duel à mort, tous les coups étaient permis, tant qu’a la fin il reste un survivant. D’un coup de pied, le Spartiate poussa l’empereur dans le vitrail et il alla s’écraser sur le sol. Tout l’armé devant le corps inerte, leva les yeux et acclama le nouvel empereur. Tous les hommes étaient à genou devant Maximilius, les anciens prisonniers furent libres et on ainsi rejoint l’armée. Tant de terres furent conquisrd mais la soif de conquête n’intéressait plus l’homme. Alors il laissa son ancien général Darphilus prendre la tête de l’empire. Il prit un char munis de deux chevaux, une lance, un bouclier ainsi que son épée et partit loin hors du royaume convoité.

Des années passèrent, les chevaux mourrant de fatigue le Spartiate du continué seul marchant des mois et des mois. Un beau jour, près d’un ruisseau un homme courrait derrière une femme en larme, le Spartiate qui tenait encore sa dignité, il couru lance en main et transperça le corps de l’agresseur. La jeune femme pris peur et couru à travers bois, le guerrier marcha épuisé dans la foret et vis une forteresse dans les montagnes non loin de là. Il s’avança frappa à la porte et entra. Une belle femme lui ouvrit vêtu d’une longue robe rouge, d’un joli visage.

Bonjour mon nom est Maximilius mais appeler moi KnibalMax, je recherche un toit ainsi qu’une famille

Je viens de créer une civilisation elfique, mais je veux bien d’un guerrier pour protéger ces murs. Entrer donc….Bienvenue à toi tu es chez Lunatic Pandora, mais ton armure ne vient pas de ses terres, d’où es tu ?

Je viens d’une ville appelée Sparte et je vais vous raconter mon histoire....
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